11 juillet 2012
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"Le jizô au pied de l'érable souriait avec la même expression. Son front moussu et son nez ébréché n'avaient pas changé. Seules les deux quetsches avaient disparu."
OGAWA Yoko, extrait de "Les tendres plaintes" ( traduit par Rose-Marie Makino et Yukari Kometani, chez Actes Sud )
(Photo prise à Ohara, le 23/07/2010)